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Chine-Egypte : investissons ensemble pour sortir le monde de la crise !

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Nouveau Document de fond !

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Malgré la pandémie de COVID-19 et ses effets dévastateurs indéniables sur la santé économique et sociale de presque tous les pays, et contrairement à certains rapports de médias occidentaux, étrangement ravis de « l’effondrement » de l’Initiative Ceinture et Route (ICR) en raison de la pandémie, la locomotive de l’ICR continue à accélérer. Comme d’habitude, les rapports en question ne sont pas basés sur des faits mais sur des souhaits, et les experts qu’ils citent ont rapidement été contredits.

Selon un rapport publié par le ministère chinois du Commerce, les investissements directs non financiers de la Chine dans les pays situés le long de l’ICR ont atteint 10,27 milliards de dollars au cours des sept premiers mois de 2020, en hausse de 28,9 % sur un an. Au cours de cette période, les entreprises chinoises ont signé de nouveaux contrats d’une valeur de 67,18 milliards de dollars avec ces pays.

L’incapacité à évaluer et à prévoir les réactions chinoises face à la crise financière est due à la philosophie économique devenue dominante en Europe, aux États-Unis et au Japon au cours des dernières décennies, pour qui l’austérité est la seule réponse en période de difficultés économiques et financières.

Notre ami Hussein Askary, animateur de BRIX, une association suédoise de promotion de l’Initiative Une Ceinture Une Route, fait ici un rapport d’étape sur les succès accomplis dans la coopération gagnant-gagnant entre la Chine et l’Egypte, un pays qu’il connaît bien et où il se rend régulièrement.

Lire l’article complet dans la section Documents de fond du site S&P (réservée aux abonnés du site S&P et du journal Nouvelle Solidarité).

L’Égypte prend son envol sur la nouvelle Route de la soie

La renaissance des infrastructures africaines le long de l’Initiative Ceinture et Route
L’exemple de l’Égypte

Article d’Hussein Askary, paru le 16 octobre 2020 dans l’hebdomadaire américain fondé par Lyndon LaRouche, Executive Intelligence Review (EIR).

Malgré la pandémie de COVID-19 et ses effets dévastateurs indéniables sur la santé économique et sociale de presque tous les pays, et contrairement à certains rapports de médias occidentaux, étrangement ravis de « l’effondrement » de l’Initiative Ceinture et Route (ICR) en raison de la pandémie, la locomotive de l’ICR continue à accélérer. Comme d’habitude, les rapports en question ne sont pas basés sur des faits mais sur des souhaits, et les experts qu’ils citent ont rapidement été contredits.

Selon un rapport publié par le ministère chinois du Commerce, les investissements directs non financiers de la Chine dans les pays situés le long de l’ICR ont atteint 10,27 milliards de dollars au cours des sept premiers mois de 2020, en hausse de 28,9 % sur un an. Au cours de cette période, les entreprises chinoises ont signé de nouveaux contrats d’une valeur de 67,18 milliards de dollars avec ces pays.

L’incapacité à évaluer et à prévoir les réactions chinoises face à la crise financière est due à la philosophie économique devenue dominante en Europe, aux États-Unis et au Japon au cours des dernières décennies, pour qui l’austérité est la seule réponse en période de difficultés économiques et financières.

La philosophie chinoise, que l’on voit clairement à l’œuvre depuis la crise financière de 2008, consiste à « investir » dans une sortie de crise. Les États-Unis et l’Europe avaient une philosophie similaire (inspirée par le New Deal du président américain Franklin Delano Roosevelt), qui parvint à sortir l’économie américaine de la Grande Dépression et contribua à la reconstruction de nations prospères en Europe et au Japon, après les destructions subies pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais cette philosophie fut progressivement abandonnée dans l’ère post-Bretton Woods, à partir de 1971.

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